Le retour en classe
Tant redouté par les enfants. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’ils y passent de beaux et grands moments de leur vie.
Ça signifie chez les Michaud, un retour pour l’Épouse. Elle est enseignante. Une seconde année au secondaire, à la Cité-des-Jeunes pour la Torpille. Une dernière année au primaire pour le Loup. Et une magnifique passation en troisième année pour l’Oursonne.
Mais tout ça survient après une magnifique semaine de vacances que nous avons vécue ensemble. Et ça a bougé cette semaine-là.
On a marché, on a bougé, on a appris
Cette année, la meute s’est dirigée du côté de l’Ontario pour relâcher la pression. Je voulais écrire pour relaxer. Mais ce serait faux. Parce qu’on a marché, tout un beau tas de pas. Nous voulions nous procurer de ces applications qui comptent les pas. Mais nous aurions sans doute fait éclater la machine.
Au Zoo de Toronto, on a marché jusqu’en Inde, en Afrique, dans l’ouest du Canada, jusqu’en Eurasie pour y voir des animaux surprenants. Des collines, des marches, des kilomètres de sentiers en forêt, en prairie, en savane et ailleurs. On a aussi appris une foule de choses. On a vu des paresseux, mais à ce moment nous étions loin d’en être.
La visite s’est poursuivie au Temple de la renommée du Hockey. On a lancé sur Carey Price, disputé un match de hockey sur table. Mais on a aussi marché. Encore. Des milliers de pas. On a assisté au match des Blue Jays. On a gravi les estrades. Plusieurs fois. Le cardio accoté dans le tapis. Et on a festoyé quand ils ont vaincu les Rangers.
Des vacances pas reposantes
Entre deux escales, nous marchions. On a pris le train de banlieue, il fallait alors se déplacer entre les attractions, à pieds. Et on y a pris plaisir. Pas de farniente sur la plage cette année pour les actifs que nous sommes.
On a marché dans l’Aquarium Ripley et escaladé la Tour du CN. Non, ça, c’est une blague. On a pris l’ascenseur. Heureusement. Parce que c’est haut. Et c’est fabuleux.
On garde de beaux souvenirs de ces vacances. Courte escale qui nous a permis de reprendre la forme en marchant, encore et encore, juste à temps pour la rentrée qui s’avère merveilleuse.
Je vous en reparle bientôt.